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🙇 Je suis à genoux, et pourtant j’y crois encore…

Parce que tomber n’est pas échouer, c’est parfois le seul moyen de se relever autrement.


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Il y a ces moments où la vie t’écrase.

Tu es à genoux, au sens propre ou figuré. Fatigué·e de lutter, d’essayer, de sourire alors que tu n’en as plus la force.

Et pourtant… quelque chose en toi refuse d’abandonner.

Une étincelle, minuscule mais tenace, continue de dire : “J’y crois encore.”

En tant que thérapeute relationnelle en Vendée, je le vois souvent : tomber n’est pas synonyme d’échec.

Être à genoux peut être le début d’autre chose.

Parce que c’est dans cette posture d’humilité et de vulnérabilité que naît souvent la vraie force.



🌫️ À genoux : un état émotionnel avant tout


Quand tu dis “je suis à genoux”, ce n’est pas juste une métaphore. Ton corps le vit :

  • Fatigue extrême.

  • Cœur lourd, gorge serrée.

  • Sensation que même les gestes simples demandent un effort colossal.


C’est ce qu’on appelle un état de sidération émotionnelle : ton système nerveux dit stop, ton mental crie “pause”, ton corps t’invite à plier plutôt que de casser.



🔍 Pourquoi on s’effondre parfois


  1. Le poids des épreuves accumulées Ruptures, deuils, tensions de couple, pressions professionnelles… Quand tout s’additionne, le corps et le cœur lâchent.

  2. L’illusion de devoir tout contrôler On croit qu’on doit être fort·e, tenir pour tout le monde. Mais la réalité, c’est que personne ne peut être debout en permanence.

  3. Un appel de l’âme Parfois, s’effondrer est la seule façon pour que tu t’arrêtes et que tu écoutes enfin ce que tu fuis depuis trop longtemps.



⚠️ Les risques de rester trop longtemps à genoux


Être à genoux est une étape normale. Mais si tu y restes coincé·e :

  • Tu développes une perte d’estime de toi (“je suis nul·le, je n’y arrive pas”).

  • Tu rumines et t’enfermes dans des pensées négatives.

  • Tu perds l’élan vital et le goût des projets.



💡 Comment se relever, même doucement


1. Accepter la chute

Ne lutte pas contre ton état. Dire “je ne vais pas bien” n’est pas une faiblesse, c’est une lucidité.

2. Trouver un appui extérieur

Parler à une personne de confiance, demander de l’aide, consulter. On ne se relève pas toujours seul·e, et ce n’est pas grave.

3. Poser un micro-acte de vie

Faire ton lit. Marcher 10 minutes. Écrire une phrase. Ces petits gestes sont des “preuves de vie” qui rallument l’élan.

4. Réapprendre à respirer

Respiration lente, méditation, silence… C’est par le souffle que le corps retrouve son énergie.

5. Raviver la flamme de l’espoir

L’espoir, ce n’est pas croire que tout ira bien demain. C’est croire que toi, tu peux avancer un pas après l’autre.



🌱 Être à genoux n’est pas une fin, mais une posture de renaissance


Pense à la terre.

Quand une graine est plantée, elle “s’effondre” dans le sol, invisible, immobile. Mais ce n’est pas la mort : c’est la préparation à l’éclosion.

Être à genoux, c’est pareil.

Ce moment d’arrêt et de vulnérabilité prépare ta renaissance.



🧠 Exemple concret : l’effondrement qui réinvente une vie


Une patiente que j’ai accompagnée a perdu son travail et traversait une rupture en même temps.

Elle me disait : “Je n’ai plus rien, je ne suis plus rien.”Elle s’est sentie à genoux pendant des semaines.

Mais peu à peu, elle a découvert :

  • Qu’elle pouvait vivre avec moins de pression.

  • Qu’elle avait enfoui des envies personnelles depuis trop longtemps.

  • Que cette chute lui offrait la possibilité de se réinventer.


Aujourd’hui, elle dit : “Je ne souhaite à personne de tomber aussi bas… mais sans ça, je n’aurais jamais osé changer.”



📍 Pourquoi un accompagnement en Vendée peut aider


En psychologie positive et thérapie de couple, je t’aide à :

  • Mettre des mots sur tes émotions quand tu n’en peux plus.

  • Transformer l’effondrement en étape de reconstruction.

  • Retrouver confiance en ta capacité à avancer.




✨ Conclusion : Croire encore, c’est déjà un premier pas


Être à genoux n’est pas une défaite.

C’est une pause.

Une invitation à regarder autrement, à écouter plus profondément, à repartir autrement.

Et si tu y crois encore, même un peu, même faiblement… alors tu tiens déjà la clé. Parce que l’espoir n’a pas besoin d’être grand pour être puissant.

Avec toute ma bienveillance,

Leslie 🌸

 
 
 

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"Un jour, j'irais vivre en théorie car en théorie tout ce passe bien "

Leslie Renault

© 2025 par Leslie Renault

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